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Sujet : Whisky LIVE 2006, le premier jour | |
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Auteur | Sujet : Whisky LIVE 2006, le premier jour | |||
Fred Distillateur (Administrateur) |
Posté le: 17/09/06 11:08, dernier message le : 19/09/06 [Répondre ] Bonjour,
Malgré un esprit quelque peu embrumé en ce dimanche matin, je vais vous conter rapidement ma première journée au whisky Live 2006 à Paris. A la différence de l’année dernière, le salon se déroule sur deux jours pour les non professionnels. Les heures d’ouverture sont plus courtes, mais le fractionnement permet de mieux gérer sa visite. Toutefois, il faut payer deux entrées si l’on venir les deux jours … Débutant un samedi, la différence est très nette par rapport à l’année dernière : j’arrive dans un Paris bruyant que je reconnais bien ! Même si je connaissais déjà les lieux, le palais Brognard reste très impressionnant et impose immédiatement son ambiance. Il y avait du monde ce samedi, beaucoup de monde pour cette première journée (on parle de plus de 2000 personnes ?) mais comme moi et Helliot n'avions pas de planning précis de dégustation, nous sommes laissé guidé par nos envies. Corto Malté avait lui un listing très complet et bon nombres d'idées derrières la tête. Ce qui fait le charme d'une telle manifestation, quand on se laisse guider par l'instinct, c'est d'écouter les avis des personnes, connues ou inconnues, qui vous livrent le bon plan, la bonne bouteille, la dégustation qui va vous laisser en pleurs et à genoux ... Avec un verre dans le nez, on est beaucoup plus émotif ! Je vais vous livrer maintenant le contenu de mon petit carnet de dégustation pour cette première journée. Il s'agit d'appréciations "brut de dégustation", qu'il faut prendre avec un certain recul. Et ces avis n'engagent que moi ! A noter également que j’ai volontairement pratiquement fait l’impasse sur les « furieux » des îles, malgré les commentaires élogieux concernent le Bora 30 ans, Talisker 30 ans ou autres Ardbeg. Balvenie : 14 ans Roasted - il s'agit d'une version pour laquelle les grains d'orge on été un peu grillé après le maltage : beaucoup de promesses ... Il est franchement dans le style Balvenie avec certainement plus de rondeur, de miel et de coffre. Par contre, difficile de discerner le roasted ! C'est une version de 14 ans à plus de 47 degrés. Cela suffit à lui donner plus de coffre que la version 12 ans. 17 ans new Wood - toujours pas compris pourquoi New Wood ... Il s’agit d'une version avec un affinage en fût de rhum. Là aussi beaucoup de promesses, mais une profonde déception pour moi et Helliot. Perte flagrante du style Balvenie, pas de nez, trop différent ! Un peut de miel et c'est tout ... Bushmill : 21 ans - Impossible de résister à la dégustation, le troisième verre cette année sera irlandais ! Par rapport à la version 16 ans, il me semble se révéler plus vite et développer toute sa force. Beau voyage en Irlande avec ce parfum si caractéristique Doux, riche, enveloppant, parfait ! Mis à part le prix de 149 Euros ... Aberlour : A'bunadh : Il fallait que je le goûte ... il fallait que je sache ... Et maintenant je sais ... je sais que je n'aime pas beaucoup le style Aberlour ! Disons qu'il est franc, puissant et sans détour dans cette version. C’est un concentré de Balvenie et on le reconnaît bien ! Mais il y a pour moi trop d'épices et de rondeurs explosive et pas assez de finesse. Il doit falloir lui laisser un sacré bon de temps dans le verre pour qu’il se calme ! Balvenie 30 ans : la particularité de cette version est l'absence de fût de xérès dans la maturation. Il fallait goûter la différence, avec en plus la promesse des trente années. Il nous a semblé très frais pour son âge, avec des notes d'agrumes bien présentes au nez et à la bouche. Il tranche carrément avec le style Aberlour mais du coup on le cherche un peu dans le verre (il m’arrive de ne pas savoir ce que je veux ). Mais avec du temps, il doit libérer toute sa magie. Caol Ila Caol ila affinage fût de Marsala : premier dérapage ... C'est franchement Caol ila, avec la mer bien présente, mais en bouche il y a un coté suave assez étrange. On ne discerne pas franchement le marsala, mais on sent une présence étrangère ... L'ensemble est plutôt bien fusionné, mais c'est assez étrange tout de même ! Un Caol Ila à la guimauve ? Ardmore Whisky Magasine 1990, tout juste sorti du fût avec beaucoup de force et servi par Dave broom en personne. Très étonnant, le nez est légèrement marin, mais l'attaque en bouche révèle immédiatement des parfums de pommes très vifs. La pointe d'eau est la bienvenue et dévoile un breuvage plus en nuances avec juste une pointe marine. La grande magie est sa longueur ! Un petit régal bien après que le verre ne soit vide ! Pour grossir les traits, il semble anodin au début mais fait regretter de n’avoir qu’un fond de verre par la suite. Compass Box Passage obligatoire pour moi chez Monsieur John Glaser pour goûter les nouveautés. Oak Cross - assemblage à base de Clynelish dans un fût constitué de lattes de chêne français (pour les tanins) et de chêne américain (pour la vanilline). Sincèrement, je suis passé à coté de cette version. Pas assez de corps, des épices, mais pas grand chose autrement. L’ambiance du salon, peut être … Flaming Heart - disponible en octobre, cette version est bien plus plaisante à mon goût: il s'agit grossièrement d'une version "Spice tree", donc très épice, refondue avec un Caol ila. Très nuancé, le coté marin et le coté épicé sont présents mais bien atténués et mêlés. Très chouette ! Longmorn Impossible de ne pas remarquer le Longmorn 1972 de chez G&M en face de chez Compass Box. Une si belle couleur grenat et une si belle année, ce ne peut être qu’un chef d’œuvre ! Mais pour moi, ce fut une grosse déception : nez et bouche beaucoup trop marqués par le xérès ! A ce prix, autant se payer une caisse de très bon xérès ! Mais tout le monde ne partage pas mon avis, heureusement ! Aberfeldy – Deward’s Déjà bien attaqué, me voilà lancé dans ma première verticale Aberfeldy (Single Malt) et Deward’s (blend) de la même maison. Je n’ai pas grand chose à dire sur le 12 ans et 18 ans d’Aberfeldy sauf que je n’aime pas le style : Trop sec et âpre pour mon petit palais délicat. La gamme Deward’s contient une bonne part de ce dernier, mais heureusement adoucit l’ensemble (12 ans 50%, 18 ans 60% et enfin le Signature à 80%). Cette gamme développe des arômes plus subtils quoique l’esprit blend soit encore bien présent dans le 12 ans. Le Signature nous a été présenté comme la perle rare, la beauté absolue du salon dont seulement 6 bouteilles étaient disponibles … J’ai été séduit par sa complexité, mais de là à payer 155 Euros … Il reste que c’est un beau produit qui demande plus d’attention. Imperial 12 ans Inconnu auparavant pour moi. Présente dans cette version une pointe d’orange très marqué qui me rappel le Balvenie 10 ans. Pas assez de corps et de longueur pour laisser plus de souvenir, malheureusement. Jameson Allez, un petit tour chez les irlandais pour se redonner du courage ! La place était festive et l’hôtesse joyeusement irlandaise. J’ai retrouvé avec beaucoup de bonheur le superbe bouquet du Redbreast 15 ans qui a ravit également Heliott. Je sais maintenant de source certaine que ce n’est pas les irlandais qui ont inventé le whisky, mais dieu ! Et je sais également pourquoi le Redbreast est le whiskeys préféré des irlandais : le rouge gorge est l’oiseau qui a été éclaboussé par le sang du christ sur la croix. A moins que tout simplement, les curés irlandais adorent les bonnes choses ! Et cette joyeuse discussion s’est achevée sur un Irish toast parfaitement dans le ton. Je sais maintenant ce qui m’a fait tenir dans ce marathon de la dégustation : les gâteaux Gerblé à l’orange (comme l’année dernière) et l’Irlande ! Et pour finir, j’ai eu la joie de goûter un distillat de pur pot still (assemblage d’orge malté et non malté) de 5 ans, fraîchement sorti de son fût à plus de 60 degrés, qui affichait déjà fièrement et intensément la marque de fabrique irlandaise malgré son jeune âge. Bravo ! Nikka Le stand Nikka est cette année beaucoup mieux intégré dans l’ensemble et bon nombre de personnes s’y pressent. C’est avec un très bon souvenir du Yoichi 1987 que je m’y présente. Miyagikyo 15 ans : magnifique ! Beaucoup de lourdeur et de richesse au nez. Un parfum qui accroche et envoûte naturellement. Tout à fait dans le style japonais (il me rappel l’accroche de mon Suntory 15 ans) il développe de chaudes saveurs rondes mais charpentée qui envahissent tout le palais ! Superbe malt de soirée, si le stock n’avait pas été si vite pillé, j’aurais certainement succombé malgré les 95 euros demandés. Dans une autre nuance, le Yoichi 15 ans présente des notes plus fumées. Mais quoique très équilibré, mon attirance reste pour le Miyagikyo plus en douceur. Et la journée s’achève sur le stand Glenfiddich, un peu par hasard. On l’on y découvre une version 21 ans Gran Reserva (anciennement Avana) avec une finition en fût de Rhum. Je m’aperçois que j’ai commencé cette journée avec le Balvenie New wood finition rhum et que je la fini sur une autre finition rhum. C’est parfait pour effacer la déception du New Wood, n’est-ce pas ? Et bien non, même conclusion pour cette version : mais où est le whisky, où sont les 21 années de fût ! ! ! Là encore, le rhum semble avoir étrangement lavé les arômes et étouffés les nuance. Certes il reste un délicat parfum sucrée ambiance banane, mais j’attendais plus ! Il est cependant bon de noter que cette version semble être un très bon tremplin pour les fumeurs de cigares. N’étant pas fumeur, je ne peut pas juger, mais si cette version a été construite dans ce but très précis, pourquoi pas ? Pour ne pas rester sur notre faim (ou soif ?), on nous emmène sur un autre stand Glenfiddich (encore !) ou l’on déguste avec un peu plus de plaisir une version brut de fût du Solera. Enfin, de la puissance, enfin de la fierté et des arômes. Dommage que la version officielle soit tellement en retrait par rapport à celle-ci. Elle n’est pas mauvaise, bien loin de là, mais il faut vraiment prendre son temps pour aller chercher les arômes tout au fond du verre. Je suis peut être dur avec cette distillerie qui a participé à l’avènement du single malt dans le monde, mais tout ceci est beaucoup trop commercial à mes yeux, avec des fautes de goût qui n’échappent pas à la communauté de passionnés : comment peut-on encore faire passer l’image d’un grand whisky aromatique en le présentant dans un verre cylindrique ? Il n’y a plus les glaçon, certes, mais soyons sérieux ! A venir, la deuxième journée tout aussi intense et un petit passage sur la partie professionnelle du lundi ... Ne manquez pas le prochain épisode ! mise à jour : 19/09/06 23:40 |
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gox irish & lowlands fan (Membre) |
Posté le: 18/09/06 16:58 [Répondre ] n'ayant pas pu me rendre au live
je m'en remets a vous tous qui d'entre vous on eu l'occasion de gouter ces flacons bowmore 16 fut de bourbon auchentoshan limited edition 2006 bdf brugladich twenty 3rd ed. merci |
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axel (Membre) |
Posté le: 18/09/06 22:11 [Répondre ] Bonjour,
Comme l'année derniere ce Whiky live à été une très belle réussite. De grands Whiskies dans un contexte magnifique et chargé d'histoire. Voici les Whiskies que j'ai eu le plaisir de déguster (malheureusement je n' avais que 2 heures de disponibles): CAOL ILA 8 ans / 59% JURA Heavy Peated /58% ARDBEG Still Young / 1998 / 8 ans / 56.2 % LAPHROAIG Cask Strength / 10 ans / 55.7% LAPHROAIG 30 ans/43% BALBLAIR 1992 / 13 ans /46% BALBLAIR 28 ans /44% MACALLAN 1951 / 58.8% The Peat MONSTER / 46% Pour les commentaires de dégustation, il faudra attendre quelques jours. Bonne dégustation à tous. |
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Fred Distillateur (Administrateur) |
Posté le: 19/09/06 09:14 [Répondre ] Salut,
Il faut que je complète mes descriptifs de dégustation, mais je peux te dire que le Bowmore 16 ans fût de bourbon est superbe. J'ai dégusté les deux versions (bourbon et xérès), et quoique différentes, elle sont très équilibrées. La version bourbon rappel plus le style bowmore, avec une attaque franche et tranchée (vanille, épice, tourbe, mais assez mélé et délicat). La version xérès est plus en nuances et en douceur, avec un beau développement en bouche. Il y en a pour tous les goûts ! Pour info, j'ai eu la chance de goûter également la version 37 ans bourbon cask et une version rare de 1964 (38 ans) en fût de xérès. Un rêve absolu !!! |
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Amor57 Alain (Membre) |
Posté le: 19/09/06 12:43 [Répondre ] Voici mes impressions, et encore je n'ai fait que la moitié de la moitié de mon "programme"
Duncan Taylon : Leur Bunna 37 ans rare auld est fabuleux. S'il y a une bouteille à acheter ... Leur Caperdonich 33 ans dans la gamme Lonach est aussi très bien. Séminaire Dalmore : Là aussi du très beau monde : Le 18 excellent, mais ce n'était rien à côté du 21 ans : une merveille de rondeur, de puissance, d'élégance le tout basé sur une dominante d'amande amère. Je suis séduit. Le 33 ans : Tout simplement merveilleux dans son expression de sa finition vineuse. Il faut dire qu'à 1500 Euros le flacon il peut être correct. Suit le 50 ans rien à dire tant la dégustation se fait dans de bonne conditions : On commence par une gorgée de Xérés Pedro Jimenes puis une gorgée de Dalmore 50 ans puis un carré de chocolat à l'orange puis une deuxième gorgée de Dalmore 50. Une splendeur au nez, le seul reproche : une longueur assez faible pour son âge. Je lui donnerais quand même un 97 sans problème. Au retour : essai d'aller sur le stand Glenfiddich : trop de monde, je me rabats sur le stand MW où ** * me sert une merde infâme "je ne sais plus quoi" chez GMP. J'abandonne le stand Retour chez Glenfiddich (je cherche à me renseigner en fait pour une verticale éventuelle). J'explique mon "cas personnel" à l'animatrice : "J'ai déjà goûté 4 Glenfiddich mais tous sont quelconques. Essayez de me convertir !" J'essaie le 12 ans new oak ? Quelconque, j'essaie le 15 ans : quelconque. La fille abandonne et m'envoie derrière pour me faire goûter le solera en bdf : Là, découverte : Une merveille, une splendeur. Oui Glenfiddich sait faire de belles choses. Je cherche à savoir où on peut s'en procurer. Pas possible : c'est un fût unique pour le WL. Retour sur le stand Glenfiddich pour terminer : le 21 ans OK bien aussi. Stand Benriach : Je les teste tous (7 bouteilles) J'accroche bien sur les versions NON tourbées, en particulier le 16 ans et particulièrement le 25 ans. Le 12 et 20 ainsi que la finition sherry pas trop pour moi. Mais la finition rhum est remarquable. l'authenticus ? trop tourbé à mon goût. Passage ensuite sur le stand Berry Bros. Je goûte uniquement les whiskies de grain : une découverte. le 16 ans est très bien, riche, onctueux, souple. Le Carsebridge 41 ans : à faire damner un saint. Stand Tomatin. 1973 : Quelle expression du Speyside ! Remarquable après une bonne aération, marque d'un réellement vieux whisky. Retour sur le stand MW : Il faut demander "je voudrais goûter une des bouteilles qui sont en dessous ..." "Laquelle ? la P. ou la B. ?" "Je commencerai par la P.". Il vaut mieux être au courant. On me sert donc un verre de Port Ellen 6th release. Bien, légèrment tourbé. Mais pour 150 Euros on peut avoir beaucoup mieux. Je suis déçu. Dernier passage sur le stand MW où, profitant de mon absence, Georges s'est fait servir le B. En tous points remarquable : Ce Brora 30 ans 5th release est exceptionnel. Il n'est pas impossible que malgré son prix (250 ou 270 Euros), je craque. Des bouteilles à acheter ? Bunnahabhain 1968 DT rare auld Glenfiddich solera bdf s'il est commercialisé un jour Brora 30 ans 5th release OB Benriach 25 ans Mes déceptions ? Le premier "jenesaisquoi" (je tairai le nom) GMP de la MW Et puis ? A peu près rien d'autre tant le niveau de ce que j'ai goûté était élevé. |
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Fred Distillateur (Administrateur) |
Posté le: 19/09/06 13:23 [Répondre ] Merci Amor57, dommage de ne pas s'être salué de vive voix là bas !
Je partage ton opinion sur de nombreux points. Pour ce qui est du Glenfiddich solera brût de fût, on peut retrouver son style dans le version officielle solera, mais il faut prendre beaucoup, beaucoup de temps !!! Cette dernière est trop adoucie à mon goût. Et pour finir : Dalmore, j'adore !!! presque un armagnac sec dans les vielles versions (1974) ! |
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MALT_SPIRIT Julien (Membre) |
Posté le: 19/09/06 13:28 [Répondre ] Bonjour,
Pour ma part, ma meilleure degustation fut le lagavulin 30y !!!!! Une VERITABLE merveille d'equilibre : moins d'algue que le 16y mais bcp plus fruité, attaque moins franche, legerement vanillé et une finale qui ne finit jamais . . . Bonnes surprises : tomatin 18y, bruichladdich 3d ( 30% d'octomore ) et le trilogy 1966, green label, bowmore darkest, nikka yoichi 15y Déceptions : arran sauterne finish ( il remplissent la moitié du verre chez arran, bonjour les économies) amrut le whisky indien dont j'ai recraché la premiere gorgée macallan 18 y (je m'attendait à mieux au vu des notes que lui met mr jackson) voila pour moi mise à jour : 19/09/06 13:29 |
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Fred Distillateur (Administrateur) |
Posté le: 19/09/06 13:32 [Répondre ] On c'est croisé également sans se saluer
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MALT_SPIRIT Julien (Membre) |
Posté le: 19/09/06 17:01 [Répondre ] c vrai j'ai pourtant zieuté de temps en temps qd je voyait quelqu'un te ressemblant . . . tant pis ca sera pour une prochaine fois j'espère
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Amor57 Alain (Membre) |
Posté le: 19/09/06 22:41 [Répondre ] On s'est sûrement croisés ...
Je trouve la version réduite du solera à l'image des produits de grande diffusion de Glenfiddich : Sans défauts majeurs, mais aussi sans caractère particulier. Depuis le temps que je consomme des "àpeuprèstouspareilsetpresqueidentiques" j'ai envie de changer un peu et de trouver des produits qui marquent ! Enfin pour conclure sur Glenfiddich, je pense organiser sur Paris au premier trimestre 2007 avec mon club et les Passionnés de Toulouse une verticale Glenfiddich, à mi-chemin entre Metz et Toulouse ! mise à jour : 19/09/06 22:43 |
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