damned .... il etait là ... planqué derière deux lignes de code et personne ne me l'a dit !!!

Pour ma part j'aime beaucoup organiser des soirées dégustation de whiskies avec une poignée d'amateurs (plus ou moins éclairés, l'essentiel étant de partager un intérêt voire une passion commune).

J'aime prévoir quelques bouteilles intéressantes à redéguster et certaines à découvrir. Sur fond de qqes amuse-bouches originaux voire d'un repas dédié.

Un peu ce qu'on a fait hier soir avec Antoine à mon appart

A part que comme il l'a constaté j'étais plutôt pris de court ! (bien sûr comme d'hab ça fait plusieurs jours que je glande pas grand chose au boulot, et cet aprem là il a fallu que ma chef organise une réunion qu'elle reportait depuis presque une semaine en fin de journée !

enfin c'était un peu speed mais pas trop mal quand même isn't it Tonio ?

Au "menu"
- Allt a Bhainne 10 ans - 43° - Dun Bheagan :
seul à l'avoir goûté, je l'ai trouvé relativement fort en bouche et pas très fin, un peu fermé ?, à regoûter donc dans qqes temps

- Clynelish 17 ans - 43° - Dun Bheagan :
cette fois seul Antoine l'a goûté et lui a trouvement un énorme nez de banane... qui je l'avoue m'a pour ma part laissé pantois. et en bouche une sensation assez étrange de whisky moitié marin, moitié côtier, il vous en dira plus lui même

- Un p'tit coup pour ma part de Glenmorangie port wood pour s'adoucir un peu le palais avec ce whisky doux et fruité. bienque je l'ai trouvé moins fruité que lors de l'ouverture... ce qui m'a fait lancer avec Antoine un sujet qui me tient de plus en plus à coeur, et qui concerne l'évolution des whiskies une fois la bouteille ouverte. Plusieurs exemples récents tendent désormais à me faire penser la chose suivante :
- les whiskies les plus fruités semblent perdre rapidement en fruit au fur et à mesure de leur aération (ex: Tamdhu 18 ans, Glenmo port)
- en revanche les plus floraux voient leurs arômes de fleurs s'épanouir et s'enrichir avec le temps (ex: Glengarioch 15 ans, Strathisla 12 ans)

- ensuite (ou plutôt était ce son premier) Antoine est passé au Strathisla 12 ans, qu'il a trouvé comme moi même très doux et fruité/floral (lavande/violette). Un vrai régal en ce qui me concerne.

- puis nous avons goûté ensemble une version Mac Kullick 1989 de Caol Ila (12 ans) - 43° non filtré, dont il ne restait hélas plus grand chose à part un intense fumé (il faut dire que j'avais cette bouteille depuis 2 ans et qu'il n'en reste qu'un fond).

- pour terminer, Antoine sur un Ben Nevis 10 ans - 46° qu'il a trouvé sec et puissant. Bien joué pour la marmelade d'orange ! par contre le chocolat et la gaufre au caramel... ils sont où hein ??!!...
et moi sur un Bowmore 17 ans, très complexe, bien marin (salé/iodé), agrumes, floral et parfumé comme un Bowmore se doit... mais un peu trop riche voire indécent pour un apéro.

sinon en dehors de ces petites soirées, mes deux moments privilégiés pour apprécier un whisky en solitaire sont :
- en milieu d'aprem ou dans la nuit, en accompagnement d'un bon puro de préférence un havane
- le soir à l'apéro ou après dîner en digeo, essentiellement en automne hiver, voire un chouilla au printemps.

Stéphane

C'est pas grave, le moteur de recherche permettra de recoller les morceaux ... L'année prochaine

Bienvenue à toi, MisterDA !

Je suis à l'affût ...

un poete encore un, le site doit les attirer .... ou les poetes sont adeptes du whisky ?


bienvenue